LE FAUX BUDGET DE 16 MILLIARDS $ REDUIT PAR LE FMI A 3 MILLIARDS $
Le FMI exige à la RDCONGO de rectifier son budget 2023 en présentant un budget réaliste et réalisable qui doit être chiffrer au tour de 3 milliar de dollars au lieu de 16 MILLIARDS comme prevision budgetaire vantée par les Premier Ministre, au nom du gouvernement congolais.
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REVUE DE LA PRESSE DU 08/04/23: LE PROCESSUS DE DEMOCRATISATION DE LA RDC TOUJOURS INACHEVE
REVUE DE LA PRESSE DU 8 AVRIL 2023:
La Démocrature congolaise en question !
RFI: L'opposition dénonce des manquements graves dans les opérations d'enrôlement.
Et, toujour en matière de faiblesse du processus de démocratisation de la République Démocratique du Congo, nous mettons en exergue la tribune de l'ancien premier ministre congolais Matata Ponyo, intitulée: « La fausse démocratie ».
Selon Radio France Internationale, les opérations de recensement des électeurs se poursuivent en RDCONGO, en vue des scrutins prévue pour le 20 décembre. Vendredi 7 avril, l’opposition a critiqué la commission électorale, la Céni. Elle accuse l’organe électoral d’enrôler des mineurs, des étrangers et dénonce aussi l’existence de centres fictifs et la détention de kits d’enrôlement par des groupes armés ou encore des particuliers.
L’opposition affirme avoir décelé des manquements graves, des incidents et irrégularités qui dit-elle, « ne rassurent plus » pour la tenue d’élections apaisées en RDCongo. La coalition Lamuka dirigé par Martin Fayulu appelle le plus urgemment possible, à une « réunion entre parties prenantes pour des mesures correctives ».
Selon Pascal Mulegwa, « monsieur Denis Kadima (le président de la Céni) crée un doute dans les esprits des Congolais quand il affirme avoir affecté le fonds prévu pour le scrutin dans l’opération d’identification et enrôlement des électeurs et n’avoir pas reçu l’argent du gouvernement depuis octobre 2022».
De l'avis de Jean-Félix Senga, au vu de ce que la Céni a réalisé depuis son installation, rien ne rassure qu’elle soit capable d’organiser au Congo Kinshasa des élections transparentes, impartiales et apaisées. Nous exigeons le plus urgemment possible une réunion entre parties prenantes pour évaluer le travail effectué et décider de façon consensuelle des mesures correctives. Nous exigeons la présence d’observateurs de l’Union africaine, ceux de l’Union européenne et ceux des États-Unis d’Amérique pour s’assurer de la neutralité ou non de la Céni .
Pour Matata Ponyo, la RDCongo est sous le joug d'une fausse démocratie. Selon lui le Congo Kinshasa en est un exemple évocateurcar la démocratie n’est pas effectivement appliquée.
Dans sa tribune, Ponyo declare ceci: On parle de la démocratie, on chante la démocratie, mais dans les faits, on applique autre chose. En démocratie, les élections sont faites pour choisir les meilleurs. En RDCongo, elles sont faites notamment pour désigner n’importe qui, y compris les médiocres. La loi électorale est modifiée à chaque cycle électoral. La Commission électorale indépendante (CENI), en charge d’organisation des élections, est aux ordres du pouvoir. Elle n’est donc pas indépendante. La Cour constitutionnelle devant confirmer les résultats des élections obéit aux instructions de l’Exécutif. Elle n’est pas donc impartiale. En définitive, le processus électoral n’est ni libre, ni transparent, encore moins équitable. C’est ce qui s’est passé en décembre 2018 lorsque la CENI a proclamé plusieurs députés et sénateurs qui n’ont jamais été élus.
Et Matata Ponyo renchéri: Ce que je pense est que la démocratie n’est pas d’application en RDCongo, comme dans la plupart des pays africains. Il s’agit d’un simulacre de démocratie. En réalité, c’est une sorte de dictature enveloppée dans un discours démagogique de démocratie. Le pays se trouve ainsi engouffré dans un système politique hybride où se mélangent les éléments de dictature, de démocratie et du socialisme. En définitive, l’on ne peut rien attendre d’un tel système fondé sur la médiocrité et les anti-valeurs. La situation socio-économique ne peut que se dégrader continuellement. Face à cette situation dramatique qui hypothèque totalement l’avenir des jeunes et de l’ensemble du pays, les hommes politiques se doivent d’arrêter de faire du cinéma ou du théâtre démocratique. Ils doivent appliquer la vraie démocratie en lieu et place d’une fausse comme celle mise en œuvre actuellement.
Résistant congolais
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Félix Tshisekedi sacrifie son allié et financier secret #Mwangachuchu / Libération, 21/03/23
Journal Libération, édition du 21 mars 2023
Voilà près d'un mois, que le député Edouard Mwangachuchu est en prison. Ce très proche du clan Tshisekedi est accusé de complicité avec les rebelles, du mouvement M23, qui serait à 18 kilomètres de Goma.
Qui est Mwangachuchu?
C'est depuis 2010 qu'Edouard Mwangachuchu soutient financièrement l'UDPS, le parti de Tshisekedi, Président au pouvoir. Il a aidé l'UDPS avec des virements bancaires à hauteur de 345 mille dollars par an, selon la Banque Swisse, BAUMAN et CIE.
Ce député avait entre autre, octroyé cent mille dollars à Tshisekedi pour le paiement de sa caution quand il était candidat à la présidence fin 2018.
Edouard Mwangachuchu a offert des mines de coltan à la famille de Tshisekedi début 2020.
C'est aussi lui qui a convaincu les rebelles du M23, en janvier 2021, à se rendre à Kinshasa pour négocier secrètement avec le président congolais.
Hôtels, frais de mission,et perdiem à ses frais.
Le richissime Edouard Mwangachuchu a rapproché le Président Rwandais, Paul Kagame, et Tshisekedi en 2019 au tour des contrats commerciaux après sa prise de pouvoir.
La brouille entre les deux chefs d'Etat a conduit Tshisekedi à sacrifier son allié secret, Edouard Mwangachuchu qui menace d'après l'un des ses frêres en fuite, de dévoiler l'implication de Tshisekedi dans la résurgence de la rébellion du M23.
Libération, 21 mars 2023
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L'IMPASSE
Une délégation du Conseil de Sécurité des Nations Unies en séjour en République Démocratique du Congo à refusé le fatalisme pour adopter plutôt une attitude de réalisme, invitant d’une part le gouvernement congolais au sens de responsabilité et d’autre part à emprunter la voie de la négociation politique.
Les convulsions au Congo Kinshasa ont pris une dimension internationale.
Et les agissements du gouvernement actuel compliquent l’identification des causes structurelles pour des solutions réelles et durables. Incapable de refonder les institutions sclérosées par la corruption endémique et le vagabondage des acteurs politiques et sociaux.
Depuis 1996, la RDCongo est à répétition frappée par une crise quasi existentielle qui a provoqué une détresse sociale et contribue à polariser le débat politique dans le pays.
La délégation du Conseil de Sécurité des Nations Unies séjourne en République Démocratique du Congo du 9 au 12 mars 2023, pour toucher du doigt la réalité sur terrain dont le caractère exceptionnel tient dans sa durée et sa sévérité, provoquant le déplacement et la mort de millions de congolais.
Encore une fois, la stratégie du pourrissement et du chaos imposé par le gouvernement pour répondre à l’agenda politique intérieure, soulève de nombreuses questions qui n’ont pas échappées aux délégués du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Si désigner un bouc émissaire peut donner un sens politique aux difficultés du moment, est ce que cela aide vraiment à les résoudre? Le doute est permis.
Étant donné que l’action diplomatique de Félix Tshisekedi, qui semble orchestrée à grand frais par des cabinets de lobby et consulting, est rythmée par des coups d’éclats le plus souvent communicationnels infructueux, après presque 5 ans de mandat, faire le bilan politique et diplomatique de Tshisekedi est très facile.
Il suffit de se demander la place occupée par le Président de la RDCongo sur cette planète en plein bouleversement. La multiplication des voyages, même les plus anodins, cache mal son incapacité à disposer d’une stratégie claire et assumée qui dessine une voie originale et des solutions concrètes pour son pays.
Autant le Pape François tout comme le Président Français, Emmanuel Macron, en visite à Kinshasa, sans complaisance ni concession, ont quasiment demandé au Président Tshisekedi de cesser de se mentir.
Autant avouer que pour Tshilombo ces enchaînements s’apparentent à un camouflet. Son voile sémantique avec lequel il espérait brouiller les représentations s’est déchiré.
Le flanc diplomatique n’est pas la seule fragilité de Félix Tshisekedi. La perspective du report des élections de décembre 2023 est porteuse des inquiétudes sur la scène intérieure.
L’opposition est vent debout et encore plus inquiétante que cette “l'opposition caviar”, une véritable résistance interne se dessine. L’enjeu est de taille pour un Président accusé de tribalisme et largement critiqué dans le pays.
Il n’est plus bien vu par une population qui a placé tant d’espoir dans son accession au pouvoir et qui a été déçue par la multiplication des promesses non tenues. Elle est révoltée par le niveau de corruption dans l’entourage du Président, et peut-être dans le chef du Président lui-même, qui ne peut pas ignorer les nombreux scandales, détournements et autres malversations qui sont attribués à ses proches.
Les délégués du Conseil de Sécurité des Nations Unies en mission en RDCongo, solidaires avec les congolais qui souffrent des affres de la guerre, refusent la fatalité mais aussi la passivité. Ils veulent ouvrir un champ des possibles et accompagner les congolais dans la voie du dialogue politique.
Les Nations Unies sont prêtes à y contribuer, les contacts diplomatiques évoquent à longueur des sessions et conclaves et tous les analystes le confirment, c’est la seule voie de la raison.
Dans ce contexte mouvant en RDCongo, la convocation d’une grille de lecture désuète de la crise à l’Est du pays cohabite mal avec un opportunisme politique justifié par les échéances électorales de décembre 2023.
Pour le Conseil de Sécurité des Nations unies, la négociation politique est la seule voie de sortie de la crise sécuritaire.
“N’attendez pas des Nations unies qu’elles règlent des choses de manière magique et de manière instantanée à la place des autorités congolaises, a-t-il martelé Nicolas de Rivière, ambassadeur français auprès des Nations Unies.
Voilà qui a le mérite de la clarté. Car pour le dialogue politique, Tshisekedi paraît, au même temps, incohérent et intraitable. Il ne rechigne pas à dialoguer avec certains groupes armés, de facto déjà brassés aux Forces Armées Congolaises, mais il refuse de le faire avec d’autres!
Il y a tout lieu de craindre qu’il mène le pays dans une impasse généralisée.
D’autant plus que le récent projet de loi visant à “légaliser” comme “réservistes” les miliciens qui animent les groupes armés, pose beaucoup de problèmes, car mixer ou “brasser” les soudards de 120 groupes armés, indexés de crimes contre l’humanité, comme la CODECO, Nyatura et FDLR, n'apparaît pas comme une solution viable pour pacifier la partie orientale de la RDCongo.
Au contraire, cela risque de faire indexer les Forces Armées Congolaises, pour tous les crimes que ces bandits de grand chemin vont commettre contre les populations civiles.
Parallèlement à toutes ces dérives, contradictions et impasses, comment oublier la multiplication des massacres dans le territoire de Beni, où plus de 50 personnes ont été horriblement tuées au cours de la semaine dernière, malgré l’état de siège en vigueur ?
Pour la première fois, le Ministre des Affaires Etrangères de la RDCongo, Monsieur Lutundula, a fait référence, sans le citer, à un deuxième pays agresseur, oubliant que jusqu’à présent, les Forces armées congolaises opèrent conjointement avec les troupes ougandaises (pour ne pas les citer) dans le territoire de Beni, partageant aussi bien des opérations militaires que les renseignements…
Et à ce cadre terriblement négatif et contradictoire, s’ajoute la multiplication du déploiement de troupes étrangères sur le territoire de l’Est de la RDCongo, toutes - ou presque - avec mission d'observation mais qui replongent le Congo Kinshasa dans la situation antérieure à la signature du Traité de Pretoria de 2003. A se demander si, sur le plan de la politique intérieure, la non tenue des élections générales en 2023 ne plonge la République Démocratique du Congo dans la situation de prolifération de troupes étrangères antérieure à la tenue du Dialogue Intercongolais, à qui nous devons l’actuelle Constitution.
Il apparaît nécessaire de trouver un nouvel équilibre, aussi bien intérieur qu’extérieur, afin de faire sortir la RDCongo de la dangereuse impasse où le fatshisme l’a plongée.
Résistants Congolais
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BENI, LES MASSACRES OUBLIES, L'ETAT DE SIEGE INUTILE
Alors que l'attention de l'opinion nationale et internationale est focalisée sur l'avancée du mouvement rebelle M23, en Ituri, à Beni et Butembo les massacres des populations civiles continuent, comme s'il s'agissait d'une fatalité. L'état de siège en vigueur depuis deux ans, n'a rien changé à la situation.
Les membres du groupe rebelle les Forces démocratiques alliées (ADF) ont fait incursion la nuit de mercredi 8 à jeudi 9 Mars 2023 au village Mukondi, situé sur l’axe Butembo-Beni à l’Est de Kaluguta dans la partie Nord du Nord-Kivu.
L'on dénombre au moins 40 personnes tuées et plusieurs autres blessées dans cette nouvelle attaque qui a commencé vers 20h30', d’après les sources locales dans le territoire de Béni.
L’information est confirmée par l’ancien gouverneur de la province du Nord-Kivu, Carly Nzanzu qui confirme ce bilan, monté ses dernières heures à 40 personnes tuées et plusieurs blessées.
Le village Mukondi attaqué hier soir par les ADF a été completement incendié. Il est urgent de déployer des positions militaires à Lisala et Pabyka sinon la route Butembo-Beni reste vulnérable“, a-t-il écrit sur son compte Twitter Carly Nzanzu.
Par ailleurs, appelle-t-il ainsi les autorités militaires à renforcer le dispositif sécuritaire dans la zone, afin d’empecher d'autres massacres. Il sied de se demander que reste-t-il de l'état de siège proclamé dans cette partie de la RDCongo. En plus des personnes horriblement massacrées, d'autres sont portées disparues ou gravement blessées.
Toutes les activités dans ce secteur, dont celles agricoles, sont paralysées, suite à ce drame. A cela s'ajoutent les agissement d'un groupe de MaÏ-Maî qui, la nuit de mercredi passé, a attaqué un centre d'enrolement d'électeur emportant les machines d'enrolement, dans le village de Butuhe, dans le territorie de Lubero (Nord-KIvu).
Depuis la proclamation de l'état de siège par ordonnance N°21-15 du 3 mai 2021 et la mutualisation des forces des FARDC (forces armées congolaises) et UPDF (forces armées ougandaises), la situation sécuritaire s'est détériorée, infligeant aux populations locales des conditions de vie effroyables et l'errance de millions de deplacés congolais.
Les groupes armés comme les ADF, la CODECO, les Maï-Maï et consorts sont présents et menaçants envers les populations locales. En Ituri, la CODECO, milice extrêment violente, collabore avec les autorités locales pour la sécurisation les centre d'enrolement ouverts par la CENI.
Vu la décision du Ministre de la Défense, le très incompétent Gilbert Kurhenga, d'engager les groupes armés, comme réservistes de l'armée congolaise, il faudra s'attendre à la mise à feu et à sang de tout le Nord Kivu, de plus sous l'égide de la légalité, pour les nouveaux réservistes issus de groupes armés, extrêment violents envers les populations civiles.
A ce jour, l'état de siège apparaît davantage comme une opération de communication pour le Président de la République et son Gouvernement apathique, qu'une décision politique destinée à restaurer l'autorité de l'Etat dans cette partie de la République Démocratique du Congo.
Cela était d'ailleurs prévisible, quand les autorités militaires chargées de sa mise en oeuvre, ne se vantent pas de la neutralisation des groupes armés et l'arrêt des massacres, mais plutôt que l'état de siège a permis d'augmenter les recettes domaniales!
Plus il y a des morts, plus l'exécutif national communique, s'engage, s'insurge et promet d'agir. Entretemps, rien de concret se passe sur le terrain, où les massacres continuent.
L'action sans résultat est tout simplement nulle, mais l'actuel parlement continue à adopter aveuglement et irresponsablement la prolongation de l'état de siège, sans débat sur ce qui se passe sur le terrain au Nord-Kivu et en Ituri.
Résistants congolais
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LA CONTINUITE STRUCTURELLE ENTRE LE KABILISME ET LE FATSHSIME
Après les révelations fracassantes de Corneille Nanga, ancien Président de la CENI, concernant l'Accord Politique entre Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, en 2018, pour la succession concertée au pouvoir, la visite en RDCongo du Président Français, Emmanuel Macron à ajouté une couche de vérité au sujet de la légitimité chancelante du Fatshisme en République Démocratique du Congo.
En effet, le Président Macron n'a pas mis de gants pour rappeler à son homologue usurpateur que depuis des décennies la RDCongo a été incapable d'assurer sa souveraineté territoriale et que le moment été arrivé pour assumer ses repsonsabilités, en arretant de chercher desesperement un bouc emissaire.
La douche froide reçue par le Fatshisme a été légendaire.
Et même si la couardise Fatshiste a poussé les salariés de la presse de regime à chercher une échappatoire à la dérive securitaire actuelle, faisant porter le chapeau à ses predécesseurs, les resistants congolais ne voient pas la situation sous cette optique.
En effet, les confessions de Corneille Nanga sur l'hold-up électoral de 2018, unies aux révelations d'Emmanuel Macron sur le compromis africain à la base de la succession au pouvoir de 2018, ont mis en exergue le manque de légitimité de ce regime, pleurnichard et cleptomane, à gouverner sur le grand Congo.
Selon les resistants congolais, les preuves de la continuité entre le regime Kabiliste et celui Fatshiste sont desormais sous les yeux de tous.
En realité, c'est Joseph Kabila qui a intronisé Félix Tshilombo à sa place, avec des conditionalités qui, même si ne sont pas encore toutes élucidées, prouvent, par le seul fait d'exister, qu'il n y a pas de rupture entre le regime de Kabila et celui de Tshilombo.
La majorité du FCC n'a fait que se deverser dans l'Union Sacrée, la majorité Fatshiste, qui est d'ailleurs dirigée par des Kabilistes. Les hommes au pouvoir sont en grand partie des proches de Kabila, qui continue à se prévaloir de l'immunité totale par rapport à la mise à sac du tresor public et le pillage des ressources naturelles congolaises commis au cours de ses 18 ans de règne liberticide et sans partage.
Le Fatshisme continue dans le même élan, en mettant à sac le tresor public, avec ses détournements legendaires et assurant l'immunité à tous les détourneurs.
Voilà pourquoi Félix Tshisekedi, plutôt que gouverner en position de rupture avec son predecesseur, n'a fait qu'en imiter la gouvernance cleptomaniaque, en rejettant tous les vrais combattants qui avaient travaillé contre les derives kabilistes.
Il n'y a pas de rupture entre la Kabilie et le Fatshisme. Les deux poursuivent les mêmes politiques centrifuges qui minent la souveraineté du Congo Kinshasa. Depuis 1996 à ce jour, le souverain primaire congolais n'a pas pu s'exprimer et il a été soumis aux affres de la guerre, de la pauvrété et du pillage de nos ressources naturelles. Cette continuité n'est plus à demontrer.
Elle a été scéllée par l'Accord politique confessé par Corneille Nanga et le compromis africain avoué par Emmanuel Macron dont celui-ci a été personnellement témoin, comme il a consenti naïvement Félix Tshisekedi, en un moment de distraction au cours du point de presse conjoint avec le Président de la France!
La resistance invite le peuple congolais à prendre conscience de la situation, en demandant des comptes à tous les imposteurs qui, avant et après 2018, ont usurpé la volonté du souverain primaire, le vouant à la misère, à la mauvaise gouvernance et à l'insécurité.
RESISTANCE CONGOLAISE
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LA CONTINUITE STRUCTURELLE ENTRE KABILISME ET FATSHISME
Après les révelations fracassantes de Corneille Nanga, ancien Président de la CENI, concernant l'Accord Politique entre Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, en 2018, pour la succession concertée au pouvoir, la visite en RDCongo du Président Français, Emmanuel Macron à ajouté une couche de vérité au sujet de la légitimité chancelante du Fatshisme en République Démocratique du Congo.
En effet, le Président Macron n'a pas mis de gants pour rappeler à son homologue usurpateur que depuis des décennies la RDCongo a été incapable d'assurer sa souveraineté territoriale et que le moment été arrivé pour assumer ses repsonsabilités, en arretant de chercher desesperement un bouc emissaire.
La douche froide reçue par le Fatshisme a été légendaire.
Et même si la couardise Fatshiste a poussé les salariés de la presse de regime à chercher une échappatoire à la dérive securitaire actuelle, faisant porter le chapeau à ses predécesseurs, les resistants congolais ne voient pas la situation sous cette optique.
En effet, les confessions de Corneille Nanga sur l'hold-up électoral de 2018, unies aux révelations d'Emmanuel Macron sur le compromis africain à la base de la succession au pouvoir de 2018, ont mis en exergue le manque de légitimité de ce regime, pleurnichard et cleptomane, à gouverner sur le grand Congo.
Selon les resistants congolais, les preuves de la continuité entre le regime Kabiliste et celui Fatshiste sont desormais sous les yeux de tous.
En realité, c'est Joseph Kabila qui a intronisé Félix Tshilombo à sa place, avec des conditionalités qui, même si ne sont pas encore toutes élucidées, prouvent, par le seul fait d'exister, qu'il n y a pas de rupture entre le regime de Kabila et celui de Tshilombo.
La majorité du FCC n'a fait que se deverser dans l'Union Sacrée, la majorité Fatshiste, qui est d'ailleurs dirigée par des Kabilistes. Les hommes au pouvoir sont en grand partie des proches de Kabila, qui continue à se prévaloir de l'immunité totale par rapport à la mise à sac du tresor public et le pillage des ressources naturelles congolaises commis au cours de ses 18 ans de règne liberticide et sans partage.
Le Fatshisme continue dans le même élan, en mettant à sac le tresor public, avec ses détournements legendaires et assurant l'immunité à tous les détourneurs.
Voilà pourquoi Félix Tshisekedi, plutôt que gouverner en position de rupture avec son predecesseur, n'a fait qu'en imiter la gouvernance cleptomaniaque, en rejettant tous les vrais combattants qui avaient travaillé contre les derives kabilistes.
Il n'y a pas de rupture entre la Kabilie et le Fatshisme. Les deux poursuivent les mêmes politiques centrifuges qui minent la souveraineté du Congo Kinshasa. Depuis 1996 à ce jour, le souverain primaire congolais n'a pas pu s'exprimer et il a été soumis aux affres de la guerre, de la pauvrété et du pillage de nos ressources naturelles. Cette continuité n'est plus à demontrer.
Elle a été scéllée par l'Accord politique confessé par Corneille Nanga et le compromis africain avoué par Emmanuel Macron dont celui-ci a été personnellement témoin, comme il a consenti naïvement Félix Tshisekedi, en un moment de distraction au cours du point de presse conjoint avec le Président de la France!
La resistance invite le peuple congolais à prendre conscience de la situation, en demandant des comptes à tous les imposteurs qui, avant et après 2018, ont usurpé la volonté du souverain primaire, le vouant à la misère, à la mauvaise gouvernance et à l'insécurité.
RESISTANCE Congolaise
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LA CONTINUITE STRUCTURELLE ENTRE KABILISME ET FATSHISME
Après les révelations fracassantes de Corneille Nanga, ancien Président de la CENI, concernant l'Accord Politique entre Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, en 2018, pour la succession concertée au pouvoir, la visite en RDCongo du Président Français, Emmanuel Macron à ajouté une couche de vérité au sujet de la légitimité chancelante du Fatshisme en République Démocratique du Congo.
En effet, le Président Macron n'a pas mis de gants pour rappeler à son homologue usurpateur que depuis des décennies la RDCongo a été incapable d'assurer sa souveraineté territoriale et que le moment été arrivé pour assumer ses repsonsabilités, en arretant de chercher desesperement un bouc emissaire.
La douche froide recue par le Fatshisme a été légendaire.
Et même si la couardise Fatshiste a poussé les salariés de la presse de regime à chercher une échappatoire à la dérive securitaire actuelle, faisant porter le chapeau à ses predécesseurs, les resistants congolais ne voient pas la situation sous cette optique.
En effet, les confessions de Corneille Nanga sur l'hold-up électoral de 2018, unies aux révelations d'Emmanuel Macron sur le compromis africain à la base de la succession au pouvoir de 2018, ont mis en exergue le manque de légitimité de ce regime, pleurnichard et cleptomane, à gouverner sur le grand Congo.
Selon les resistants congolais, les preuves de la continuité entre le regime Kabiliste et celui Fatshiste sont desormais sous les yeux de tous.
En realité, c'est Joseph Kabila qui a intronisé Félix Tshilombo à sa place, avec des conditionalités qui, même si ne sont pas encore toutes élucidées, prouvent, par le seul fait d'exister, qu'il n y a pas de rupture entre le regime de Kabila et celui de Tshilombo.
La majorité du FCC n'a fait que se deverser dans l'Union Sacrée, la majorité Fatshiste, qui est d'ailleurs dirigée par des Kabilistes. Les hommes au pouvoir sont en grand partie des proches de Kabila, qui continue à se prévaloir de l'immunité totale par rapport à la mise à sac du tresor public et le pillage des ressources naturelles congolaises commis au cours de ses 18 ans de règne liberticide et sans partage.
Le Fatshisme continue dans le même élan, en mettant à sac le tresor public, avec ses détournements legendaires et assurant l'immunité à tous les détourneurs.
Voilà pourquoi Félix Tshisekedi, plutôt que gouverner en position de rupture avec son predecesseur, n'a fait qu'en imiter la gouvernance cleptomaniaque, en rejettant tous les vrais combattants qui avaient travaillé contre les derives kabilistes.
Il n'y a pas de rupture entre la Kabilie et le Fatshisme. Les deux poursuivent les mêmes politiques centrifuges qui minent la souveraineté du Congo Kinshasa. Depuis 1996 à ce jour, le souverain primaire congolais n'a pas pu s'exprimer et il a été soumis aux affres de la guerre, de la pauvrété et du pillage de nos ressources naturelles. Cette continuité n'est plus à demontrer.
Elle a été scéllée par l'Accord politique confessé par Corneille Nanga et le compromis africain avoué par Emmanuel Macron dont celui-ci a été personnellement témoin, comme il a consenti naïvement Félix Tshisekedi, en un moment de distraction au cours du point de presse conjoint avec le Président de la France!
La resistance invite le peuple congolais à prendre conscience de la situation, en demandant des comptes à tous les imposteurs qui, avant et après 2018, ont usurpé la volonté du souverain primaire, le vouant à la misère, à la mauvaise gouvernance et à l'insécurité.
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CORNEILLE NANGA SE CONFESSE ET MAINTENANT LE "ROI EST NU"!
CORNEILLE NANGA SE CONFESSE ET MAINTENANT LE "ROI EST NU"!
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QUAND CHICO TSHITAMBWE DECLARE LA GUERRE
QUAND CHICO TSHITAMBWE, SOUS-CHEF D' ETAT MAJOR CONGOLAIS, DECLARE LA GUERRE ET IL VEUT SUBSTITUER L' EAC PAR LA SADC
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INDICE DE LA DEMOCRATIE MONDIALE: LA RDC DERNIERE EN AFRIQUE
INDICE DE LA DEMOCRATIE MONDIALE: LA RDC DERNIERE EN AFRIQUE ET AVANT DERNIERE AU MONDE, DERRIERE LA COREE DU NORD
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FELIX TSHISEKEDI VEUT OPPOSER LA SADC A L'EAC
NON A LA STRATEGIE D OPPOSER LA SADC A L EAC SUR LE SOL CONGOLAIS
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LETTRE A FELIX TSHISEKEDI: IL EST TEMPS DE PARTIR
LETTRE A FELIX TSHISEKEDI: IL EST TEMPS DE PARTIR
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LA RDC DOIT SORTIR DE L'EAC: RDC-EXIT
LA RDC DOIT SORTIR DE L'EAC: RDC-EXIT
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LETTRE A FELIX TSHISEKEDI: "IL EST TEMPS DE PARTIR"
LETTRE A FELIX TSHISEKEDI TSHILOMBO: " IL EST TEMPS DE PARTIR" - LA RESISTANCE CONGOLAISE https://resistantscongolais.my.canva.site/_link/?link=https%3A%2F%2Fdrive.google.com%2Ffile%2Fd%2F1gC-wREKE_gXuDAZWE4Zmss4CYQ21rJaM%2Fview%3Fusp%3Dsharing&target=PYPBwZY%2BN8FKL3e8VX8t%2B6lHEOjRioLj9Rm1UcCdEzW9SGq9w0Mb5%2Ffnjkg7lDUVHotxWTuuE0CrzH4myXzp8Tb86hBWe%2B123AxQtl01CoqCj4Y1SEAfNmIywCH%2BlrvIVtNiDpPpEdAxTi8FaM3qT71r8807h6BcoNEAxMWm0s9mal1EuSfLie36FHCfazDop6jN9No%3D&iv=TRRQ13yeWefQNHTy
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LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DE KITCHANGA
ENTRETIEN TELEPHONIQUE ENTRE LE MINISTRE DE LA DEFENSE ET UN GENERAL EN REPLI "STRATEGIQUE" DE KITCHANGA POUR MANQUE DE RENFORTS ET MUNITIONS
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