La preuve du Coran ou la Fin de l'islam avec Liberté Politique
Déléguée générale de Liberté Politique et animatrice, Constance Prazel :
Bonjour à tous les auditeurs et lecteurs de LIBERTÉ POLITIQUE. J’ai le plaisir aujourd’hui d’accueillir monsieur l’abbé Guy Pagès pour nous parler de son dernier ouvrage : “LA PREUVE DU CORAN OU LA FIN DE L’ISLAM“. Nombreux sont les lecteurs et auditeurs de LIBERTÉ POLITIQUE qui connaissent déjà monsieur l’abbé Pagès. Nous avons eu le plaisir d’organiser avec lui au mois de janvier une conférence sur la question de la France, de l’Islam et de la mission. Monsieur l’abbé Pagès est également un contributeur régulier de la revue Liberté Politique et nous l’en remercions vivement.
Alors, vous êtes le responsable du site internet www.islam-et-vérite.com. Vous êtes également prêtre et avant tout, prêtre au diocèse de Paris depuis 26 ans avec une mission particulière, l’évangélisation des musulmans. Vous avez publié déjà un ouvrage qui date d’il y a quelques années maintenant : INTERROGER L’ISLAM, qui en est à sa 4e édition, si mes souvenirs sont bons.
– Abbé Pagès : C’est ça.
– Constance Prazel : Donc, un succès de librairie et une référence en la matière dans laquelle vous pourchassez finalement toutes les incohérences et les contradictions inhérentes à la foi islamique ; et vous venez de publier aux éditions Dominique Martin-Morin (DMM) un petit opuscule qui est en quelque sorte un tiré à part, ou un résumé, un concentré des meilleurs morceaux de cet ouvrage, intitulé donc : LA PREUVE DU CORAN OU LA FIN DE L’ISLAM. Alors, est-ce que vous pouvez nous en dire un petit peu plus sur ce projet INTERROGER L’ISLAM, et pourquoi vous en êtes venu à publier justement ce deuxième ouvrage : pour le rendre plus accessible ? pour une diffusion plus large ? quelle est l’idée qu’il y a derrière ce projet?
– Abbé Pagès : Tout à fait. Alors, on peut commencer par parler du contexte présent dans lequel nous nous trouvons, c’est-à-dire, nous l’avons vu avec la lettre des généraux, avec les problèmes liés à la réponse donnée par le monde politique face au terrorisme, à l’islamisation. C’est donc dans ce contexte particulier qui est le nôtre que s’inscrit ma démarche, en voulant apporter ma réponse à ces problèmes devant lesquels toute la société est affrontée et qui à mon avis ne donne pas la vraie réponse, ne trouve pas la vraie réponse aux problèmes qu’elle perçoit. C’est-à-dire que, en fait la réponse pour moi – pas que pour moi, d’ailleurs – consiste dans le lien à établir de façon directe entre l’islamisme, que donc tout le monde se plaît à vouloir dénoncer, et l’islam lui-même, aussi vrai qu’il n’y a pas d’islamisme sans islam. Donc, ça c’est très important d’accepter, de reconnaître ce lien, si on veut vraiment trouver la réponse à apporter dans la société aux problèmes générés par ce qu’on appelle l’islamisme, de bien voir le lien qu’il y a entre islam et islamisme, aussi vrai qu’il n’y a pas d’islamisme sans islam.
Ensuite, il faut voir que ce lien n’est pas facile à faire parce que nous vivons dans une société relativiste qui est du domaine de l’opinion. Et donc, l’islam jouit du statut d’opinion, qui donc a priori ose prendre le droit d’être que n’importe laquelle autre opinion. Il y a pas de référence à la vérité ; parce que si on faisait référence à la vérité, ce qui est le domaine propre de la religion par excellence, qui se réfère à un absolu inconditionnel, à ce moment-là, on pourrait définir, de façon assurée, ce qui est bien et ce qui est mal, et notamment, concernant ce qu’on appelle les opinions et donc aussi l’islam. Mais parce qu’on se refuse à admettre dans notre société la question de la vérité parce que tout n’est qu’opinion, alors on ne peut pas atteindre l’islam en tant que tel. Donc, l’islam va continuer à générer l’islamisme parce que on est incapable de l’affronter à la vérité. Et donc, mon propos consiste à essayer de montrer en quoi l’islam, affronté à la question de la vérité, est la réponse à donner par la société à cette question de l’islamisme que tout le monde refuse. Alors, pour affronter l’islam à la question de la vérité, il suffit de réaliser que tout l’islam repose comme une pyramide à l’envers, sur sa pointe,
– Constance Prazel : Oui, ça c’est une image que vous utilisez.
– Abbé Pagès : sur le Coran. Les musulmans n’ont pas d’autre assurance pour être musulman que la vérité du Coran, qui est la preuve par excellence de l’origine divine de l’islam (Coran 4.174; 12.108; 44.19: 98.1,4) ; et c’est si vrai qu’Allah dans le Coran à plusieurs reprises, (Coran 2.23-24; 10.38; 11.13-14; 17.88; 52.34), par exemple Sourate 11, verset 13-14, lance un défi aux lecteurs en disant: «Apportez une sourate ou un verset semblable à ceci », sous-entendu: vous êtes incapables. Donc, parce que vous êtes incapables d’apporter quelque chose de comparable à ce texte, c’est la preuve qu’il n’est pas fait de main d’homme et donc qu’il est fait de main divine. Donc, il faut bien voir que tout l’islam, non seulement génère l’islamisme, mais que lui-même repose sur cette prétendue preuve de l’inimitabilité du Coran. C’est dire à quel point finalement il est facile de détruire l’islamisme en détruisant cette preuve, pour autant qu’elle soit fausse, n’est-ce pas…
– Constance Prazel : C’est ce qui est frappant effectivement dans votre ouvrage, c’est que vous n’essayez pas de démontrer, finalement, est-ce qu’il y a quelque chose de bon dans l’islam? est-ce qu’il y a une morale, etc. ? mais, en termes philosophiques en quelque sorte, de démonter la supercherie qu’il y a autour de cette idée de ce Coran incréé, de ce Coran parole divine directe. Et à partir du moment où on arrive à faire sauter ce verrou, tout le reste s’écroule … et en quelque sorte on s’économise le reste des démonstrations, et que tout s’effondre de soi-même.
– Abbé Pagès : Exactement, exactement… Effectivement, je crois à la vérité de ce que le Christ dit lorsqu’il dit que il n’y a pas d’arbre bon qui donne de mauvais fruits, ni d’arbre mauvais qui donne de bons fruits. Donc, soit l’islam vient de Dieu, soit il ne vient pas de Dieu. Mais si Dieu est Un, s’Il a parlé par les prophètes, tous juifs, et qui ont ensuite annoncés la venue du Messie, ce que reconnaît le Coran lui-même, on ne voit pas comment il pourrait y avoir plusieurs religions, comme aujourd’hui malheureusement on l’entend dire y compris dans l’église, jusqu’aux plus hautes autorités, et donc comment on peut légitimer du bien qui viendrait de l’islam. Là, il y a un amalgame énorme qui est aussi banal que funeste répandu dans la société où on va attribuer le bien que l’on voit chez des musulmans à l’islam lui-même, n’arrivant pas à distinguer ce qui chez un homme, musulman, relève de l’islam ou de sa nature humaine.
– Constance Prazel : Oui, parce qu’il y a du bon dans chaque homme.
– Abbé Pagès : Voilà, voilà. Et ça, malheureusement, parce que on va voir des bonnes choses faites par des musulmans, on va l’attribuer à l’islam. Et c’est ça qui est dramatique : c’est que on n’arrive pas à comprendre qu’un musulman, il est capable comme tout homme d’écouter sa conscience, et donc de ne pas faire ce que Allah lui demande. En fait, un bon musulman, c’est un mauvais musulman parce que il n’écoute pas Allah et c’est la raison pour laquelle les islamistes vont tuer les musulmans modérés comme des mécréants, parce qu’ils n’obéissent pas au Coran. Donc tout ça, pour dire que la question de la vérité est fondamentale pour tout être humain, y compris les musulmans : ils doivent se poser la question de la vérité. Parce que eux comme nous, comme n’importe qui d’autre, n’avons aucun intérêt à nous tromper sur une question aussi essentielle qui est celle de notre salut, qui est celle de l’honneur que nous devons à Dieu, et du bien de la société. Donc, ça, je crois que tout musulman qui nous écoute doit pouvoir se rendre compte que ce que nous devons chercher, c’est la vérité. Et a priori, si tout le monde peut affirmer connaître la vérité, il est possible à chacun en vertu de sa raison, d’éliminer les propositions qui sont contradictoires. Car si Dieu est Un, Il ne peut pas se contredire. Et donc si Allah se contredit, c’est donc qu’il n’est pas Dieu.
– Constance Prazel : Parce qu’effectivement c’est quelque chose pour toute personne qui s’intéresse un peu à l’islam, au monde musulman, c’est quelque chose, je dirais presque que c’est une tarte à la crème que l’on entend souvent sur les plateaux de télévision, il y a des contradictions dans l’islam. Vous pouvez trouver une sourate qui appelle à la paix (Coran 16.125)
et une qui appelle au meurtre (Coran 4.74), une qui dit respecter les chrétiens (Coran 5.82) et une autre qui vous explique exactement l’inverse (Coran 5.51) etc. Donc, ce système de contradictions finalement est inhérent à l’islam. Mais ce que vous montrez dans votre ouvrage, c’est que finalement il y a une contradiction qui surpasse toutes les autres contradictions.
– Abbé Pagès : Voilà, voilà. C’est donc, si on arrive à montrer que la preuve du Coran, qui est basée sur son inimitabilité, finalement ne tient pas, à ce moment-là, toutes les autres recherches sur la vérité de l’islam n’ont aucun intérêt, aucun objet comme vous disiez.
– Constance Prazel : Oui. Alors, je rebondis sur une phrase que vous prononciez à l’instant, « pour les musulmans qui nous écoutent » ; alors je ne sais pas s’il y a beaucoup de musulmans qui écoutent Liberté Politique. Je m’en réjouirais si c’était effectivement le cas. Et précisément, c’est la réflexion que je me suis faite quand j’ai parcouru votre livre, c’est de me dire : finalement quel est votre public? Qui écoute, qui lit vos écrits ? est-ce que ce sont des gens type, eh bien, par exemple, votre honorable servante qui se dit : “Bien voilà, j’ai envie de comprendre cette religion,
que j’ai le désir de renverser pour convertir à la vraie Foi. Est-ce que ce sont des musulmans qui peuvent être eux aussi touchés par cet argumentaire? Est-ce que cet argument qui est quand même profondément rationnel, et on sait en tant que chrétiens qu’il n’y a pas de vérité sans raison, est-ce qu’ils sont accessibles à cet argument, justement, des contradictions, de l’incohérence ? Et, est-ce que ce sont des arguments qui portent vis-à-vis des musulmans qui peuvent vous écouter justement?
– Abbé Pagès : Alors, c’est ce que j’espère. Ce que je désire c’est non seulement donc parler aux musulmans, mais aussi aux chrétiens et à tout le monde, pour leur donner les moyens de résister à leur islamisation programmée et d’être capables eux-mêmes, dans la mesure où les arguments que je donne sont très simples, d’être capables eux-mêmes de les proposer, comme étant des questions lancées à l’intelligence, à la perspicacité de tout auditeur, de tout interlocuteur. Donc, je dirais, mon but est double : à la fois m’adresser aux musulmans, et en même temps m’adresser aux chrétiens et aux non musulmans pour les vacciner et leur donner le moyen de ne pas se laisser tromper par l’islam. Alors, vous évoquiez cette question à l’instant du discours musulman, comment est-ce qu’il est reçu, les contradictions internes du Coran. Vous avez pu voir une de mes récentes vidéos [QUE DIT LE CORAN?] où j’ai
– Constance Prazel : décortiqué les propos de Tarek Oubrou, le grand imam de la mosquée de Bordeaux. Oui, effectivement.
– Abbé Pagès : Et vous avez vu, n’est-ce pas
– Constance Prazel : Ah là, c’est la contradiction en marche, si je peux permettre ; effectivement, cette sommité de l’islam de France, pour reprendre les expressions à la mode, parvient en un minimum de temps à accumuler un nombre de contradictions assez flagrant, effectivement.
– Abbé Pagès : Et lui-même dit – mais je me demande comment est-ce qu’il peut dire ça – et d’ailleurs c’est pas le seul : dans la vidéo, n’est-ce pas, j’ai repris les mêmes propos prononcés par d’autres sommités du monde islamique en français, capables de dire que, finalement, dans le Coran, il n’y a rien ; chacun y met ce qui veut, n’est-ce pas…
– Constance Prazel : C’est formidable finalement.
– Abbé Pagès : C’est hallucinant…
– Constance Prazel : On ne comprend pas que ça n’ait pas plus de succès…
– Abbé Pagès : Exactement…
– Constance Prazel : Mais le croyant justement, comment vit-il par rapport à cela ? est-ce qu’il ferme ses écoutilles ? est-ce qu’il reste dans une sorte d’observance pratique minimaliste, ou est-ce qu’il a conscience justement de ces failles?
– Abbé Pagès : Alors, saint Thomas d’Aquin, lorsqu’il aborde cette question du rapport aux musulmans, il dit bien qu’il n’y a pas d’autre terrain d’entente possible que celui de la raison, puisque eux-mêmes rejettent nos écritures comme étant falsifiées, et nous-mêmes rejetons les leurs aussi comme étant parfaitement infondées. Donc, on peut pas se baser autrement que sur la raison. Et tout homme qui est honnête, sait bien qu’il ne peut pas penser sans utiliser les concepts nécessaires pour cela qui sont ceux de la raison. Donc, après, chacun fait ce qu’il veut. S’il y a des gens, voilà qui sont capables de prouver le contraire de ce que j’avance, qu’ils le fassent… Mais maintenant, chacun se juge. On peut pas forcer les gens à accepter la raison, etc., voilà, ou la vérité. Et donc, moi, mon travail, c’est simplement de montrer les contradictions ; après chacun en tire les conséquences qu’il veut.
– Constance Prazel : Oui. Alors, le titre de votre livre, donc effectivement de cette édition raccourcie : vous terminez sur cette expression provocatrice : LA FIN DE L’ISLAM. Donc « la fin de l’islam », entre guillemets, la croyez-vous possible ; y croyez-vous ?
– Abbé Pagès : Alors ça..
– Constance Prazel : Je ne parle pas pour la fin des temps évidemment, parce que là nous en sommes convaincus.
– Abbé Pagès : En tout cas, au niveau conceptuel, je pense que ce petit livre le montre de façon évidente. L’islam, une fois qu’on a lu mon petit livre, je pense qu’on ne peut plus être musulman si on est honnête, parce que j’avance suffisamment d’éléments, de raisonnements, pour prouver ça : que l’islam ne tient pas. Alors, on pourrait, si vous vouliez, avancer, pour les spectateurs, avancer quelques-uns de ces éléments.
– Constance Prazel : Les principaux arguments, j’allais y venir.
– Abbé Pagès : Voilà, oui.
– Constance Prazel : Alors justement, quels sont pour vous – alors la contradiction par excellence,
c’est la question de l’inreproductibilité du Coran ; mais quelles sont pour vous, justement si l’on pouvait en retenir trois, quatre, peut-être cinq contradictions majeures que vous faites ressortir dans cet ouvrage ?
– Abbé Pagès : Voilà. Déjà, le fait que c’est un discours auto-référentiel, c’est-à-dire que la preuve est à l’intérieur d’un cercle vicieux : c’est le Coran qui dit qu’il est inimitable. Donc, il y a un seul témoin, n’est-ce pas, de cette preuve ; c’est un peu le serpent qui se mord la queue. Or, la justice interdit de prononcer un jugement à moins du témoignage concordant d’au moins deux témoins ; donc là, le fait qu’il n’y ait qu’un seul témoin, ça suffit à montrer que Allah ne respecte pas les impératifs de la justice, n’est-ce pas ? Et donc si Dieu Lui-même n’est pas juste, qui le sera ? Donc là, déjà ça, dans son principe, c’est une erreur méthodologique, magistrale, qui discrédite le propos d’Allah, n’est-ce pas
– Constance Prazel : Et qui est un principe épistémologique de base, même pour nous autres occidentaux,
– Abbé Pagès : Exactement.
– Constance Prazel : le fait de croiser les sources en histoire, le fait d’avoir plusieurs témoins dans une affaire etc. ; et donc là, effectivement, ça se retourne contre l’islam lui-même. Un autre argument ?
– Abbé Pagès : Un autre argument : alors, par exemple à la sourate 28 et au verset 49, Mahomet dit : “Apportez-moi un livre d’Allah qui soit supérieur à ces deux-là et je le suivrai.” Autrement dit, le Coran lui-même affirme qu’il n’y a aucun livre supérieur à ces deux-là, lesquels sont l’Ancien et le Nouveau Testament.
– Constance Prazel : Oui.
– Abbé Pagès : Donc le Coran lui-même, par la bouche d’Allah, affirme que le Coran n’a aucune valeur : il ne peut pas être suivi, donc lui-même détruit la preuve du Coran. Il dit qu’il n’y a rien de supérieur à la Bible, donc le Coran n’a aucune légitimité pour se présenter comme étant la révélation qu’il prétend être par ailleurs, n’est-ce pas. Ou bien, on pourrait trouver encore d’autres contradictions : alors, par exemple, à la sourate 4 verset 82, Allah dit : « Est-ce qu’ils ne rejetteraient pas le Coran s’ils y trouvaient beaucoup de contradictions ?” Donc, pour Allah, dans ce verset, il faudrait qu’il y ait beaucoup de contradictions pour pouvoir rejeter le Coran. Or, si Dieu est UN, un seul verset contradictoire devrait suffire, car une chose est vraie ou elle est fausse, et pour Dieu ce n’est pas une question de beaucoup ou de peu de choses ; c’est : ou c’est, ou ça n’est pas ; donc, s’il y a un seul verset contradictoire, ça devrait suffire pour montrer, Dieu ne pouvant pas se contredire, que le Coran est faux ! Mais pour Allah dans ce verset, il en faudrait beaucoup, sans donner évidemment le chiffre, n’est-ce pas… Mais de là, on voit bien qu’il y a une négation du principe même de la vérité
– Constance Prazel : Oui… Oui.
– Abbé Pagès : et de l’unicité de Dieu. Donc, voilà un autre verset qui montre en lui-même déjà qu’il est une preuve de la non vérité du Coran. On pourrait encore en trouver d’autres : par exemple, vous savez que dans le Coran, il y a Mahomet qui s’exprime (Coran 28.49; 69.40; 81.19) – là donc, j’ai cité ce verset : “Apportez un livre qui soit supérieur à ces deux-là.” sourate 28 verset 49 ; donc, il y a Mahomet qui s’exprime (Coran 9.30), il y a parfois un rédacteur, il y a des anges (Coran 19.64; 37.164), qui prennent la parole, il y a des djinns (Coran 72.1-18), qui sont des espèces de
– Constance Prazel : d’esprits mauvais.
– Abbé Pagès : Voilà, voilà. Autrement dit, il y a d’autres paroles que celles d’Allah, qui sont équivalentes à la parole d’Allah, pour former ensemble un même Coran qui est la parole d’Allah.
Autrement dit, le Coran lui-même apporte la preuve que sa parole n’est pas inimitable.
– Constance Prazel : Oui, puisqu’il s’agit de la parole d’autres que lui-même
– Abbé Pagès : Voilà, voilà. La parole de Mahomet, des djinns ou des anges est élevée au statut de paroles d’Allah. Donc, lui-même apporte la preuve que sa parole n’est pas inimitable.
– Constance Prazel : Oui.
– Abbé Pagès : Donc, autant d’arguments qui n’ont pas besoin de recourir à des recherches compliquées, savantes,
– Constance Prazel : historiques, etc.
– Abbé Pagès : voilà
– Constance Prazel : C’est presque de la logique finalement.
– Abbé Pagès : De la logique tout simplement pour permettre à chacun de se rendre compte, s’il est honnête et de bonne foi, que ça tourne pas rond, que c’est un bluff ; ou bien encore ce bluff, on peut le montrer du fait que Allah lance ce défi (Coran 2.23-24; 11.13-14; 10.38; 17.88; 52.34),
mais il n’indique pas qui va en être le juge. Or, ça ne peut pas être un musulman, car on ne peut pas à la fois être juge et partie, et ça ne peut pas non plus être un non musulman car un musulman ne va jamais accepter de confier à quelqu’un qui est un mécréant, et un maudit, l’avenir de l’islam.
– Constance Prazel : Oui, oui.
– Abbé Pagès : N’est-ce pas. Et les critères non plus sont pas indiqués ; si quelqu’un prétend apporter un texte semblable à ceux du Coran, sur quoi va-t-on le juger, s’il est oui ou non égal ou supérieur ou inférieur à celui du Coran ? quels sont les critères pour juger ? ce n’est pas indiqué…
Et quel sens ça aurait de prétendre, si l’islam est un chef d’œuvre, le comparer à un autre chef- d’œuvre ? un chef-d’œuvre en soi, c’est unique, ça n’a pas de sens de vouloir dire que de deux chefs-d’œuvre, l’un est mieux que l’autre ou pas, ça serait parfaitement subjectif, n’est-ce pas…
Donc, les témoins de Jéhovah, les mormons, les taoïstes, tous peuvent prétendre que leur livre est le meilleur livre qui soit ; donc, c’est parfaitement arbitraire d’affirmer que cette œuvre-là est supérieure à une autre si ce sont des chefs-d’œuvre. Ça n’a pas de sens. Donc, un défi qui n’a ni juge, ni critère, ni sens, qu’est-ce que c’est d’autre qu’un bluff ?
– Constance Prazel : Oui, oui.
– Abbé Pagès : Donc tout cela, je crois, doit permettre à chacun, s’il est vraiment amoureux de la vérité, de se rendre compte qu’il y a un problème. Faut d’abord résoudre ces problèmes de contradictions, oui, n’est-ce pas, si on peut. Ou alors il faut arrêter.
– Constance Prazel : C’est donc autant un travail philosophique qu’un travail religieux.
– Abbé Pagès : Oui.
– Constance Prazel : que vous proposez dans cet ouvrage. Alors, je posais la question tout à l’heure de savoir comment les musulmans peuvent recevoir ce livre, mais comment nous, nous pouvons le recevoir en tant que chrétiens, en tant que croyants ; quelle est son utilité pour le monde présent ? Est-ce vous le concevez comme une sorte d’antidote à la vague d’islamisation qui nous environne ? Comment peut-on justement y puiser une force, des arguments pour se dire : “Il n’est pas possible de se laisser totalement submerger par cette islamisation.” ?
– Abbé Pagès : Exactement. J’aimerais beaucoup que tout le monde, et notamment nos responsables politiques ou religieux qui prétendent lutter contre l’islamisme, fassent l’effort de discuter de mes arguments ; parce que c’est parfaitement vain, c’est parfaitement hypocrite,
criminel d’oser apporter une solution au problème de l’islamisme tant qu’on n’aura pas résolu ce problème ; parce que, encore une fois, l’islamisme vient de l’islam, et l’islam vient du Coran. Donc, allons à la source, ça ne sert à rien de vouloir couper une branche ici ou là si on ne s’attaque pas à la souche, d’où rejailliront indéfiniment de nouveaux rejetons. Donc, il faut vraiment, pour le bien des musulmans, pour le bien de la société, pour le salut de tous, il faut avoir le courage de s’affronter à la question de la vérité, et celle-ci implique la logique que la raison permet de reconnaître. Donc, ne pas faire ce travail-là, c’est vraiment se condamner soi-même à être ridicule, ou criminel. Donc, moi ce que je souhaite, c’est que ces arguments, qui sont les plus simples qui soient, très courts, voilà, soient connus de tout le monde, pour que celui qui, aujourd’hui, après avoir connu ces arguments, continue à se dire musulman, endosse le ridicule de la société entière.
– Constance Prazel : Merci beaucoup monsieur l’abbé, c’est un vaste programme. Alors, nous avons publié il y a quelques mois, un petit ouvrage qui s’intitule “L’islam en question”, qui
– Abbé Pagès : C’est très bien fait.
– Constance Prazel : reprend plutôt l’approche historique et théologique. Donc, comment est-ce qu’on peut saisir les supercheries de l’islam à travers la manière dont la « secte » entre guillemets musulmane a prospéré et jusqu’à devenir la gigantesque entreprise que l’on connaît aujourd’hui. Mais cette approche effectivement est historique et théologique. L’ouvrage de l’abbé Pagès nous donne des clés plus philosophiques, plus fondamentales d’une certaine manière, qui sont valables universellement, indépendamment finalement de cette approche historique et théologique. Et donc, nous ne pouvons évidemment que chaleureusement conseiller à nos lecteurs de se plonger dans cet ouvrage, ou bien alors là aussi de remonter à la source, en se plongeant dans “INTERROGER L’ISLAM”,
– Abbé Pagès : Oui, merci.
– Constance Prazel : La somme, la Somme Théologique si je peux me permettre, qui précède cette réflexion. Alors, merci beaucoup pour ce temps que vous nous avez accordé. Vous avez peut-être une remarque supplémentaire.
– Abbé Pagès : Je vous remercie beaucoup, Constance. Simplement, je vais vous parler un instant de la masse musulmane,
– Constance Prazel : J’ai parlé de « secte musulmane » et ensuite d’une entreprise qui a réussi.
– Abbé Pagès : Voilà, voilà. Oui, c’est ça. Et donc, je voudrais amener à la conscience de nos spectateurs, ce fait, à savoir qu’en 1946, il y avait 50 millions de sunnites dans le monde, il y avait 20 millions de chiites et 393 millions de catholiques. En 2019, il y avait 1 milliard 520 millions de sunnites, 220 millions de chiites, et 1 milliard 120 millions de catholiques. C’est dire que la population des uns et des autres, pour les catholiques a été multipliée par 2,8, pour les chiites par 10, et pour les sunnites par plus de 30 : c’est dire à quel point, comme vous dites, la secte est devenue aujourd’hui la secte la plus nombreuse dans le monde – de façon tout à fait impressionnante…
– Constance Prazel : alors même qu’elle est divisée contre elle-même.
[** Progression de 1947 à 2019 :
des catholiques : 285%
des chiites : 1068%
des sunnites : 2999%
Pourcentage de la population mondiale :
En 1947 : En 2019 :
Catholiques : 16.4% 14.6% (-1,8)
Sunnites : 2% 19,8% (+17.8)
Chiites : 0.8% 2.7% (+1.9)]
– Abbé Pagès : Exactement ; et c’est là où on voit comme Jésus l’a annoncé dans l’évangile (Mt 13.24-30, 36-43), l’ivraie a été semée dans le champ du monde après que le bon grain a été livré, et cette ivraie est en train de se répandre partout, et d’étouffer le bon grain.
– Constance Prazel : Oui. Des chiffres qui sont vertigineux, mais qu’il faut, entre parenthèses, pour mesurer l’ampleur du phénomène.
– Abbé Pagès : Exactement ; et malheureusement, je déplore que dans l’église l’attitude missionnaire, c’est-à-dire vouloir le salut des âmes, se soit effacée au profil de la recherche d’une convivialité qui fait fi de la vérité.
– Constance Prazel : Et d’un hypothétique dialogue, parce que, comme vous l’aviez très bien souligné, et nombreux sont ceux qui le disent heureusement, c’est que, finalement, le dialogue théologique avec l’islam n’a pas de sens parce qu’il n’y a pas les bases communes pour qu’il puisse effectivement
– Abbé Pagès : exactement.
– Constance Prazel : se passer dans des conditions qui soient au service de la vérité.
– Abbé Pagès : Vous dites très justement théologique. Voilà, mais philosophique, ça, on doit pouvoir y arriver, justement, parce que la raison nous est commune.
– Constance Prazel : Oui. Tout à fait. Merci encore.
– Abbé Pagès : Merci à vous Constance. Merci beaucoup.
– Constance Prazel : Je vous invite et j’invite évidemment tous nos auditeurs et nos lecteurs à se rendre sur le site de l’abbé Pagès, www.islam-et-verite.com : vous y retrouverez un certain nombre de vidéos explicatives qui viennent compléter l’entretien d’aujourd’hui. Et en particulier, une vidéo qui date du mois de février, QUE DIT LE CORAN ?, dans laquelle l’abbé Pagès revient sur les propos de l’imam de Bordeaux Tarek Oubrou, et où les contradictions justement inhérentes à l’islam apparaissent au grand jour.
Je vous invite aussi, dans un tout autre registre, à vous procurer le dernier numéro de la revue Liberté politique, qui parle de questions démographiques. Donc, on retombe sur des querelles de chiffres, mais pour lequel l’abbé Pagès nous a proposé une réflexion très stimulante sur la question de la confession et des nouveaux moyens de communication.
– Abbé Pagès : Merci Constance.
– Constance Prazel : Merci encore et à très bientôt. Je le souhaite.
– Abbé Pagès : Merci.
13
views
Rosa a eu recours à une IVG en 2023
(Rosa): Comment on a pu me vendre un tel acte, en me disant : "C'est juste un oeuf, c'est rien ! Que tu vas être soulagée, c'est rien ! C'est comme les règles, c'est rien".
- Rosa a eu recours à l'IVG en 2023. Elle souffre aujourd'hui d'un trouble post-traumatique.
(Rosa): Le 30 août 2023, j'ai appris que j'étais enceinte. J'étais heureuse, mais j'avais plein de doutes, plein de peurs. J'ai commencé à chercher sur Internet. Je suis tombée bien évidemment sur le site du ministère de la Santé. Je me suis fiée à cette source, qui doit avoir des informations fiables et impartiales. J'ai lu que l'IVG permet de soulager. J'ai lu que ce n'est pas très douloureux parce qu'en fait c'est comme les règles. J'ai lu qu'on expulsait juste un oeuf. La suite fut un cauchemar. Cet avortement médicamenteux, qui est supposé être comme des règles, était l'un des pires moments de mon existence. Le vendredi 8 septembre, j'ai pris la première pilule, qui bloque le développement de la grossesse. Quand je l'ai prise, j'avais déjà un sentiment de regret, mais on m'avait dit que ce n'était pas possible de revenir en arrière. J'ai pris le deuxième cachet le dimanche matin. J'ai commencé à vomir, à saigner. La douleur n'est pas du tout comparable aux règles, c'est comme si on m'arrachait l'utérus. Au niveau des saignements, la couleur n'avait rien à voir avec les règles : C'était une couleur foncée, c'était de gros caillots de sang, c'était le placenta, la poche où le bébé, la poche où le bébé dont le bébé se nourrissait. Comment peut-on comparer quelque chose aux règles alors que pendant les règles, on expulse pas un placenta ? Et là, le pire moment, je m'attendais à voir un oeuf, comme le décrit le site du gouvernement. C'était pas un oeuf, c'était un bébé minuscule, avec des petits yeux qui commençaient à se former. Un visage, avec une poitrine qui se formait. Le pire moment de toute mon existence, c'est quand j'ai pris cet embryon et que je l'ai jeté dans les toilettes. Ça. Ça m'a causé des cauchemars par la suite, de voir mon bébé allongé sur la cuvette. Après cet acte, la première chose que j'ai senti, c'était la morosité, la tristesse. Je pensais que j'allais juste continuer ma vie, que j'allais être soulagée, ce n'était pas du tout le cas. Pendant trois semaines, je n'ai pas dormi. J'ai perdu dix kilos en un mois. J'ai fait deux tentatives de suicide. Le psychiatre m'a diagnostiqué un stress post-traumatique, mais aussi une dépression sévère anxieuse pour laquelle j'ai fait un séjour en hôpital psychiatrique. Je n'ai jamais fait ça de toute ma vie. Tout ca, c'est nouveau pour moi. D'un point de vue médical, je suis à dose maximale d'antidépresseurs. Je prends toujours des anxiolytiques, et des somnifères. Il m'a dit clairement : que c'est l'IVG qui m'a fait ça. Ma psychologue m'a dit : "Ce qui te faut aujourd'hui, c'est qu'on fasse un travail de deuil de ce bébé". Je travaille avec une spécialiste des émotions où je dois imaginer mon bébé, où je dois l'embrasser, où je dois lui dire pardon et où je dois le laisser partir. Parce qu'au final, c'est ça. Au final, c'est le laisser partir, mais moi, je ne peux pas le laisser partir, parce que je l'ai vu, et parce que je l'ai jeté alors que je pensais que ça allait être juste un oeuf. Je ne comprends pas pourquoi l'État veut que les femmes avortent, alors que ça nous fait mal, pourquoi veut-il ça ? Au lieu de nous protéger et de protéger ses citoyens, il veut qu'on commette cet acte-là, un acte de destruction. Au vu des conséquences que j'ai subies suite à cet avortement, c'est-à-dire : douleurs physiques atroces, dépression sévère anxieuse, séjours à l'hôpital psychiatrique alors que je n'avais jamais connu ça de toute ma vie, perte d'emploi... Je voudrais porter plainte contre le gouvernement pour m'avoir menti et pour ne pas m'avoir fourni assez d'informations fiables sur les conséquences de l'IVG et sur son déroulement.
34
views
Effets_deleteres_du_SARS-Cov-2_et_des_vaccins_anti_Covid_19_
Effets_deleteres_du_SARS-Cov-2_et_des_vaccins_anti_Covid_19__Les_dangers_des_nouveaux_vaccins_a_ARNm_en_developpement
10
views
La pauvreté mondiale, l'immigration et des bonbons
La pauvreté mondiale, l'immigration et des bonbons
10
views
Arcivescovo Carlo Maria Viganò PAX CHRISTI IN REGNO CHRISTI (traduzione in italiano).
Mons. Carlo Maria Viganò
PAX CHRISTI IN REGNO CHRISTI
Intervento al Secondo Congresso del Movimento Russofilo Internazionale
e del Forum sulla Multipolarità
Mosca, 26-27 Febbraio 2024
Eccellenze, Illustri Signore e Signori, Cari Amici,
questa è la seconda occasione nella quale ho l’onore di intervenire al Congresso Internazionale dei Russofili. Ringrazio voi tutti e gli organizzatori di questo evento, per avermi invitato a tenere questa riflessione, che segue di poche settimane la storica intervista che il Presidente Vladimir Vladimirovič Putin ha concesso al giornalista statunitense Tucker Carlson. La reazione dei media mainstream occidentali dimostra quanto la verità faccia paura, in un mondo che vive di menzogna e si regge sulla falsità.
Tutti voi, qui convenuti, avete ben chiara la minaccia che incombe sul mondo occidentale e sull’intera umanità. Anzitutto, la minaccia di una terza guerra mondiale, sotto le cui macerie seppellire decenni di crimini e frodi commessi da un’élite sempre più potente e tirannica. In secondo luogo, la minaccia dello sterminio di parte dell’umanità tramite l’Agenda 2030. In terzo luogo, la minaccia quanto mai concreta e terribile dell’instaurazione di un Governo Mondiale di stampo totalitario, nel quale i popoli superstiti siano ridotti in schiavitù. La progressiva cancellazione delle sovranità nazionali e il loro assorbimento in organismi sovranazionali hanno come scopo dichiarato l’instaurazione del Nuovo Ordine Mondiale. I leader del World Economic Forum, con tutte le sue ramificazioni ufficiali e ufficiose, non fanno mistero di aver occupato i vertici delle istituzioni tramite governi-fantoccio e con la cooperazione servile dei media di regime.
I popoli dell’Occidente hanno ormai compreso di essere governati da servi dell’élite globalista e che il cosiddetto “sistema democratico” è una grottesca finzione, ad iniziare dalla manipolazione delle elezioni. Le continue emergenze – sanitaria, bellica, climatica ed energetica – le crisi che dovrebbero giustificare l’Agenda 2030 non sono però ciò che unisce costoro, e molti iniziano a rendersene conto: ciò che muove queste persone è la loro appartenenza a un culto satanico. Ma chi vuole far regnare Satana, deve prima bandire Dio, con il pretesto della laicità dello Stato: Regnare Christum nolumus. Il mondo occidentale si è ridotto a una cloaca, ad un mattatoio, ad un enorme campo di battaglia, nel quale l’élite controlla le masse, le impoverisce, le sfrutta, le umilia, le schiavizza, le manda al macello.
Avendo escluso Dio dalla vita pubblica, l’autorità non deve obbedire a nessun principio trascendente, e può dunque mutarsi – come si sta mutando – in dittatura. Il suo potere diviene illimitato e lo Stato – privatizzato e nelle mani di eversori criminali – si sostituisce a Dio. Possiamo credere che gli autori di questo golpe si rassegnino a cedere il potere, proprio quando manca poco all’instaurazione di questo Nuovo Ordine? proprio quando l’élite è riuscita a imporre la sistematica cancellazione dei diritti fondamentali – la salute, la proprietà, la libertà di impresa, la libertà di parola e di educazione, la libertà di muoversi e viaggiare – a un’umanità terrorizzata da continue emergenze create a tavolino, da prospettive di catastrofi inventate, dalla minaccia di guerre e invasioni?
Siamo tutti consapevoli che è in atto un risveglio dei popoli: lo dimostrano le manifestazioni degli agricoltori e degli allevatori che si allargano a macchia d’olio, e quelle dei cittadini di tante Nazioni, esasperati dalla sostituzione etnica – con tutte le conseguenze che conosciamo in termini di sicurezza, criminalità e convivenza – imposta da folli politiche immigrazioniste colpevolmente supportate da organizzazioni sedicenti umanitarie. Ma questo risveglio – se non troverà una risposta seria e responsabile nell’alveo del diritto – sfocerà inevitabilmente in guerra civile, dando il pretesto ai governi servi del World Economic Forum di intervenire militarmente.
Solo due settimane fa l’Assemblea Nazionale francese ha varato una legge sulle “derive settarie” che prevede forti ammende e la reclusione per chi esprime dissenso. La censura di Stato o da parte di organi sovranazionali è già in atto e andrà aumentando esponenzialmente, così come il controllo sulle masse. Gli scandali della frode elettorale alle Presidenziali americane del 2020; l’evidenza di un criminale piano di sterminio e sterilizzazione di massa mediante l’imposizione di una terapia genica sperimentale presentata come vaccinazione di massa; la volontà di forzare il passaggio alla valuta digitale per controllare come possiamo o non possiamo spendere i nostri soldi: sono tutti segnali allarmanti, ai quali si aggiunge la minaccia di una guerra nucleare. L’élite è disposta a tutto pur di conservare il potere e di nascondere i propri crimini.
In cosa dunque può consistere un’azione di resistenza e di opposizione, tale da coinvolgere quest’onda montante di dissenso, evitando che possa venire strumentalizzata o dispersa? Vorrei qui esporre la mia visione, che spero possa costituire un’occasione di confronto.
La Rivoluzione ha fallito, così come ha dimostrato di aver fallito l’ideologia laicista e anticristiana dell’Occidente postrivoluzionario, liberale e massonico. La Russia ha vissuto questo crollo prima di noi, riappropriandosi della sua Fede, delle sue tradizioni e della sua cultura, che il totalitarismo aveva combattuto e cercato di cancellare, esattamente come la dittatura woke combatte e cerca di cancellare la nostra identità, la nostra Fede, la nostra civiltà cristiana e addirittura i principi sacri e universali della Legge naturale. Tutti siamo concordi che i danni causati da una società che si rifiuta di riconoscere Dio sono sotto i nostri occhi. Dobbiamo quindi avere non solo l’umiltà, non solo il coraggio, ma anche e soprattutto la fierezza di professare la nostra Fede, di volere che non solo il singolo, ma anche lo Stato riconosca e onori Nostro Signore Gesù Cristo come Dio, Signore e Re, e che a Lui conformi le proprie leggi.
Nel 1874 il grande statista Gabriel García Moreno consacrò la Repubblica dell’Ecuador a Nostro Signore, prima di essere ucciso dai sicari della Massoneria. Il suo motto era: Libertà per tutto e per tutti, tranne che per il male ed i malfattori. Come non essere d’accordo? Dobbiamo riconoscere la Signoria di Cristo e arrenderci alla Sua legge, affidare a Lui la nostra patria e la nazione, noi stessi e le nostre famiglie. E chi, tra quanti si onorano del nome Cristiano, non condividerebbe queste parole? Non verremmo forse rispettati anche da chi professa un’altra religione, avendo ritrovato la comune base di principi condivisi come il rispetto della vita, della famiglia naturale, il rispetto per i deboli e gli anziani?
Penso che questo potrebbe costituire davvero, e direi quasi provocatoriamente, il great reset che tutti aspettiamo, e che costituisce un ritorno al Signore di tutti noi, delle nostre famiglie, delle comunità, delle amministrazioni pubbliche. Dovremmo tornare ad essere orgogliosi di poterci professare Cristiani. Dobbiamo tornare a chiamare bene il bene e male il male; a non sentirci inferiori dinanzi all’arroganza del vizio, al cinismo della corruzione; a non lasciarci intimidire dalla apparente irreversibilità del male. Dobbiamo restituire ai popoli occidentali quella speranza che le è stata strappata per soggiogarli. Dobbiamo delaicizzare la società e ricondurla nell’alveo di quell’ordine divino che si fonda in Cristo, Uomo-Dio, unico Salvatore del genere umano, che solo in Cristo può trovare pace. La pace di Cristo – che è pace vera perché fondata sulla verità e sulla giustizia – può essere conseguita solo dove è Cristo a regnare: Pax Christi in regno Christi.
Qual è l’unica cosa che la chimera globalista non può offrirci? per la quale non ha un surrogato da sostituirvi? L’eroismo di un ideale, la nobiltà di uno scopo per il quale valga la pena combattere ed anche morire. E questo ideale non può che consistere nella Fede in Cristo Signore, nell’amore per Lui e per il prossimo, nel desiderio di dare alla nostra Patria e ai nostri figli un futuro in cui gli orrori del globalismo siano un brutto ricordo. Gli eversori criminali di Davos non hanno nessun ideale da offrire, perché basano il proprio successo sulla paura, e perché ottengono obbedienza dai loro servi con la corruzione e il ricatto. All’ideologia di morte del Nuovo Ordine Mondiale dobbiamo opporre il Vangelo, la parola del Verbo eterno, di Colui che si è detto Via, Verità e Vita. Se affrontiamo il comune nemico sul campo in cui è più forte siamo destinati a soccombere; se spostiamo lo scontro dove invece è debole possiamo vincerlo, con l’aiuto di Dio. Dimentichiamo troppo spesso che Dio è veramente onnipotente, e che nulla possono i Suoi e nostri nemici contro di Lui. Egli aspetta che l’umanità torni a Lui e che si lasci salvare quando tutto sembra perduto.
Questa è l’unica possibile via di uscita dalla distopia presente, perché qualsiasi cosa accada – sia che gli autori del golpe siano sconfitti, sia che conservino con la forza il loro potere tirannico – la consapevolezza della battaglia spirituale in corso orienterà e darà uno slancio soprannaturale alla nostra opposizione, la renderà meritoria e non potrà non giungere al cospetto della Maestà divina. Domine salva nos, perimus! Κύριε, σῶσον, ἀπολλύμεθα. Господи! спаси нас, погибаем (Mt 8, 25). Nella tempesta che infuria, il Signore sembra dormire, mentre attende che Lo invochiamo e che Lo riconosciamo capace di placare le onde e quietare i venti.
Rifondiamo gli Stati sulla roccia, sulla pietra angolare che è Cristo Signore. Restituiamo a Gesù Cristo la corona che la Rivoluzione Gli ha strappato. Scrolliamo da noi il giogo infernale del globalismo, l’adesione a organismi sovranazionali pensati per cancellare la nostra Fede, la nostra identità, la nostra civiltà. Mettiamo gli eversori criminali davanti alle loro responsabilità, ad iniziare dall’aver provocato un sanguinoso conflitto che ha sterminato un’intera generazione in Ucraina, usandola per aggredire la Russia, per svenderla alle multinazionali e per far crollare economicamente l’Europa.
Affrontiamo l’élite non tanto contestando le menzogne delle crisi e delle emergenze, ma piuttosto opponendo alla loro visione di morte la speranza che si fonda su Cristo e sul fare la Sua volontà. Fiat voluntas tua, diciamo nel Padre nostro. Facciamo la volontà di Dio, unica possibile risposta della creatura al Creatore, e unica premessa per vincere con Lui questo scontro epocale. Ce l’ha ricordato anche Tucker Carlson, in una recente intervista rilasciata a Dubai, quando ha indicato i due schieramenti opposti, costituiti da chi riconosce e serve Dio e da chi vuole farsi dio al posto di Dio e contro di Lui, a chi serve la vita e chi promuove la morte, da chi segue la Verità e da chi è servo della menzogna e della frode.
I popoli sono assetati di Bene, non ne posso più di falsità e inganni, di perversioni e di violenza. Non lasciarti vincere dal male, ma vinci il male con il bene, dice San Paolo (Rm 12, 21). Vinciamo il male con il bene, e la menzogna con la verità, la superbia con l’umiltà, la corruzione con l’onestà, l’egoismo con la carità generosa. Portiamo la Luce nelle tenebre, la luce vera che illumina ogni uomo (Gv 1, 9), perché le tenebre in cui si nascondono questi criminali eversori siano squarciate, e appaia l’orrore dei loro crimini esecrandi, e con essi la loro condanna.
Vi lascio la pace, vi do la mia pace: non come la dà il mondo, Io ve la do (Gv 14, 27).
A conclusione di questa riflessione, vorrei lanciare un appello a tutti gli uomini di buona volontà, perché le Nazioni siano consacrate al Sacro Cuore di Gesù e al Cuore Immacolato di Maria, Madre di Dio, quale premessa per implorare dal Cielo quella pace che solo il nostro Re e Signore può dare, e che mai come in questo momento è invocata dal genere umano su questo mondo ostaggio di forze infernali. Faccio questo appello al Patriarca di Mosca, ai Prelati della Chiesa ortodossa, ai Cardinali e ai Vescovi cattolici che non hanno ceduto al compromesso, e a tutti coloro che si riconoscono nei principi universali e sacri della Legge naturale.
Su tutti voi, e su quanti condividono la nostra battaglia spirituale, imploro copiose Benedizioni celesti per intercessione della gloriosa Theotokos, la Vergine Madre di Dio.
+ Carlo Maria Viganò, Arcivescovo,
già Nunzio Apostolico negli Stati Uniti d’America
34
views
Archbishop Carlo Maria Viganò PAX CHRISTI IN REGNO CHRISTI (English version)
Msgr. Carlo Maria Viganò
PAX CHRISTI IN REGNO CHRISTI
Speech at the Second Congress of the International Russophile Movement
and the Multipolarity Forum
Moscow, February 26, 2024
Your Excellencies, Distinguished Ladies and Gentlemen, Dear Friends,
This is the second occasion on which I have had the honor of speaking at the International Congress of Russophiles. I thank all of you and the organizers of this event for inviting me to give this reflection, which follows by a few weeks the historic interview that President Vladimir Vladimirovič Putin granted to the American journalist Tucker Carlson. The reaction of the Western mainstream media shows how scary the truth is, in a world that lives on lies and is based on falsehood.
All of you gathered here are well aware of the threat that hangs over the Western world and the whole of humanity. First, the threat of a third world war, under the rubble of which will be buried decades of crime and fraud committed by an increasingly powerful and tyrannical elite. Secondly, the threat of the extermination of part of humanity through the Agenda 2030. Thirdly, the very real and terrible threat of the establishment of a totalitarian World Government, in which the surviving peoples will be reduced to slavery. The progressive elimination of national sovereignties and their absorption into supranational bodies has, as its declared purpose, the establishment of the New World Order. The leaders of the World Economic Forum, with all its official and unofficial ramifications, make no secret of the fact that they have occupied the top positions of the institutions through puppet governments and with the slavish cooperation of the regime media.
The peoples of the West have now understood that they are ruled by servants of the globalist elite and that the so-called “democratic system” is a grotesque fiction, starting with the manipulation of elections. The continuous emergencies – health, war, climate, and energy – the crises that supposedly justify the Agenda 2030, however, are not what truly unites them, and many are beginning to realize it. What actually motivates these people is their belonging to a satanic cult. But whoever wants Satan to reign must first banish God, under the pretext of the secular nature of the State: Regnare Christum nolumus. We do not want Christ to reign. The Western world has been reduced to a sewer, a slaughterhouse, a huge battlefield, in which the elite controls the masses, impoverishes them, exploits them, humiliates them, enslaves them, and sends them to the slaughterhouse.
Having excluded God from public life, authority no longer has to obey any transcendent principle, and can therefore be transformed – as it is currently changing – into a dictatorship. Its power becomes unlimited and the State – privatized and in the hands of criminal subversives – takes the place of God. Can we believe that the perpetrators of this coup are resigned to ceding power, just when the establishment of this New Order is just around the corner? At a time when the elite has succeeded in imposing the systematic erasure of fundamental rights – health, property, freedom of enterprise, freedom of speech and education, freedom of movement and travel – on a humanity terrified by continuous created emergencies, by the prospect of invented catastrophes, by the threat of wars and invasions?
We are all aware that an awakening of peoples is taking place. This is demonstrated by the demonstrations of farmers and breeders that are spreading like wildfire, and those of the citizens of many nations, exasperated by ethnic substitution – with all the consequences we know in terms of security, crime, and coexistence – imposed by crazy immigrationist policies guiltily supported by self-styled humanitarian organizations. But this awakening – if it does not find a serious and responsible response within the framework of law – will inevitably lead to civil war, giving the pretext to the governments that are servants of the World Economic Forum to intervene militarily.
Just two weeks ago, the French National Assembly passed a law on “sectarian drifts” that provides for heavy fines and imprisonment for those who express dissent. Censorship by the State or by supranational bodies is already underway and will increase exponentially, as will control over the masses. The electoral fraud scandals in the 2020 U.S. Presidential election; evidence of a criminal plan of mass extermination and sterilization through the imposition of an experimental gene therapy presented as mass vaccination; the willingness to force the switch to digital currency to control how we can or cannot spend our money: these are all alarming signs, to which is added the threat of nuclear war. The elite is willing to do anything to retain power and hide their crimes.
In what, then, can an action of resistance and opposition consist, such as to involve this rising wave of dissent, preventing it from being exploited or dispersed? Here I would like to present my vision, which I hope will be an opportunity for discussion.
The Revolution has failed, just as the secularist and anti-Christian ideology of the post-revolutionary, liberal, and Masonic West has shown that it has failed. Russia experienced this collapse before us, regaining possession of its Faith, its traditions, and its culture, which totalitarianism had fought and tried to erase, just as the woke dictatorship fights and tries to erase our identity, our Faith, our Christian civilization, and even the sacred and universal principles of the Natural Law. We all agree that the damage caused by a society that refuses to acknowledge God is before our eyes. We must therefore have not only humility, not only courage, but also and above all the pride to profess our Faith, to want not only individuals, but also the State to recognize and honor Our Lord Jesus Christ as God, Lord, and King, and to conform its laws to Him.
In 1874 the great statesman Gabriel García Moreno consecrated the Republic of Ecuador to Our Lord, before being killed by the assassins of Freemasonry. His motto was: Freedom for everything and everyone, except for evil and evildoers. How can we disagree? We must recognize God’s lordship and surrender to His law, entrust our homeland and nation, ourselves and our families, to Him. And who, among those who are honored by the Christian name, would not agree with these words? Would we not also be respected by those who profess another religion, having rediscovered the common basis of shared principles such as respect for life, the natural family, respect for the weak and the elderly?
I think that this could really constitute the real “great reset” that we are all waiting for, a return to the Lord of all of us, of our families, of our communities, of public administrations. We should once again be proud to be able to profess ourselves to be Christians. We must go back to calling good good and evil evil; not to feel inferior in the face of the arrogance of vice, the cynicism of corruption; not to be intimidated by the apparent irreversibility of evil. We must restore to the peoples of the West the hope that has been snatched from them in order to subjugate them. We must desecularize society and bring it back into the stream of that divine order which is founded in Christ, the God-Man, the only Savior of the human race, which can find peace only in Christ. The peace of Christ – which is true peace because it is founded on truth and justice – can only be attained where Christ reigns: Pax Christi in regno Christi.
What is the one thing that the globalist chimera cannot offer us, for which it has no substitute to offer? The heroism of an ideal, the nobility of a goal worth fighting for and even dying for. And this ideal can only consist in Faith in Christ the Lord, in love for Him and for one’s neighbor, in the desire to give our homeland and our children a future in which the horrors of globalism are a bad memory. The criminal subversives of Davos have no ideals to offer, because they base their success on fear, and because they gain obedience from their servants through bribery and blackmail. We must oppose the ideology of death of the New World Order with the Gospel of Jesus Christ, the One who called himself the Way, the Truth, and the Life.
If we face the common enemy on the field where he is strongest, we are doomed to succumb. If we move the battle to where he is weak, we can win it, with God’s help. We too often forget that God is truly omnipotent, and that His enemies and ours can do nothing against Him. He waits for humanity to return to Him and to allow itself to be saved when all seems lost.
This is the only possible way out of the present dystopia, because whatever happens – whether the perpetrators of the coup are defeated or forcibly maintain their tyrannical power – the awareness of the ongoing spiritual battle will orient and give a supernatural impetus to our opposition, will make it meritorious, and cannot fail to come before the divine Majesty. Domine salva nos, perimus! Κύριε, σῶσον, ἀπολλύμεθα. Господи! спаси нас, погибаем (Mt 8:25). In the raging storm, the Lord seems to be asleep, waiting for us to call on Him and to recognize Him as capable of calming the waves and calming the winds.
Let us rebuild States on the rock, on the cornerstone which is Christ the Lord. Let us give back to Jesus Christ the crown that the Revolution has snatched from Him. Let us shake off the infernal yoke of globalism, the adhesion to supranational bodies designed to erase our Faith, our identity, our civilization. Let us hold the criminal subversives accountable, starting with provoking a bloody conflict that exterminated an entire generation in Ukraine, using it to attack Russia, to sell it out to multinationals, and to bring down Europe economically.
We confront the elite not so much by challenging the lies of crises and emergencies, but rather by opposing their vision of death with hope – hope that is based on Christ and doing His will. Let us do God’s will, the only possible response of the creature to the Creator, and the only premise for winning this epochal clash with Him. Tucker Carlson also reminded us of this, in a recent interview in Dubai, when he pointed out the two opposing camps, made up of those who recognize and serve God and those who want to make themselves god instead of God and against Him, those who serve life and those who promote death, those who follow the Truth and those who are servants of lies and fraud.
Peoples thirst for Goodness, they are fed up with falsehoods and deceptions, perversions and violence. Let us overcome evil with good, and falsehood with truth, pride with humility, corruption with honesty, selfishness with generous charity. Let us bring the Light into the darkness, the true light that enlightens every man (Jn 1:9), so that the darkness in which these subversive criminals hide may be torn asunder, and the horror of their heinous crimes may appear, and with them their condemnation. Peace I leave with you, my peace I give to you: not as the world gives, I give it to you (Jn 14:27).
At the conclusion of this reflection, I would like to launch an appeal to all people of good will, so that nations may be consecrated to the Sacred Heart of Jesus and to the Immaculate Heart of Mary, the Mother of God, as a premise for imploring from Heaven that peace which only our King and Lord can give, and which never so much as in this moment has been invoked by the human race on this world held hostage by infernal forces. I make this appeal to the Patriarch of Moscow, to the Prelates of the Orthodox Church, to the Catholic Cardinals and Bishops who have not yielded to compromise, and to all those who recognize themselves in the universal and sacred principles of the natural Law.
Upon all of you, and upon all who share in our spiritual battle, I implore abundant heavenly blessings through the intercession of the glorious Theotokos, the Virgin Mother of God.
+ Carlo Maria Viganò, Archbishop,
former Apostolic Nuncio to the United States of America
76
views
Dans 50-70 ans, l’Europe sera totalement islamisée … ?
Dans 50-70 ans, l’Europe sera totalement islamisée … ?
11
views
Allah recognizes that the Bible is perfect -363
To justify the existence of Koran and by this that of islam, the moslems want believe than the Koran would be the eternal God word (Koran 43.2-5), that was sent for confirming and replace the book that was there earlier, this means the Bible (Koran 5.48). So, if the Koran is eternal, but how could itself to confirm or replace it that has been earlier it. But why, what is the reason to confirm it that we want replace ? But mainly, Allah himself recognizes that there is not of doubt at subject to the Bible. (Koran 10.37) From then, but why to confirm her or replace her ?
17
views
Arcivescovo Carlo Maria Viganò Messaggio ai partecipanti al congresso di Democrazia Sovrana Popolare
Arcivescovo Carlo Maria Viganò Messaggio di Mons. Carlo Maria Viganò ai partecipanti al congresso di Democrazia Sovrana Popolare
21
views
Arcivescovo Carlo Maria Viganò Comunicato - Exsurge Domine e le Benedettine di Pienza -
Arcivescovo Carlo Maria Viganò Comunicato - Exsurge Domine e le Benedettine di Pienza - 28 Gennaio 2024
10
views
Croire à la réincarnation ? -358
La croyance en la réincarnation est fausse, parce que basée sur une fausse conception de l’âme, qui, par définition, est le principe organisateur et animateur d'une portion de matière pour former un être corporel vivant et unique, ce dont témoigne l’ADN. Si la réincarnation était un châtiment, non seulement il ne serait d'aucun profit à l’âme qui en naissant ignorerait de quoi elle est châtiée, mais encore : il devrait donc y avoir de moins en moins d’âmes sur terre ... or c’est l’inverse qui s’est produit ! On n’efface pas le temps par lequel chacun devient ce qu’il est : si je puis être aussi bien Louis XI que votre arrière-grand-mère, ou même un chat, je ne suis finalement personne ! Et c’est ainsi qu’en dépersonnalisant, la croyance en la réincarnation, rend impossible le don de soi, l’amour, et conduit de ce fait à pire qu’au néant, l’Enfer.
Notre site : https://www.islam-et-verite.com/
9
views
3
comments
Allah asks to read the bible -351
Activating the myth of eternal return, islam does believe to muslims that the Koran is the Word of God sent to replace the Gospel that Christians would have falsified, Gospel himself who has been sent for replacing the Torah that Jews would have falsified and so on until coming of Adam (Koran 2.37,41,85-87,213 ; 3.78 ; 4.46-47 ; 5.15,41 ; 20.115 ; 42.13). So, the Jews never thought that their scriptures replaced the others, nor the Christians than theirs replaced those of Jews. And since the Bible of Jews called the Old Testament is fully reproduced in the Bible of Christians, how would the Christians have thought than the Bible of the Jews was falsified ? And why Allah would ask to read the Bible if this one was falsified ? (Koran 10.94 ; Boukhari, 8,82,825) Who finally falsifies the Revelation ?
15
views
Archbishop Carlo Maria Viganò Messagge to Medical Doctors for Covid Ethics Int’l – January 3, 2024
Archbishop Carlo Maria Viganò Messagge to Medical Doctors for Covid Ethics Int’l – January 3, 2024
23
views
Archibishop Carlo Maria Viganò Message to Medical Doctors for Covid Ethics Int’l – January 3, 2024
Archibishop Carlo Maria Viganò Message to Medical Doctors for Covid Ethics Int’l – January 3, 2024
41
views